02 juillet 2006

L'ecotrip commence



Projet ECOTRIP

EH oui parfois la chance nous souris et alors nous la prenons aux dépend de tout ce que cela peut engendrer.
Biologiste, environnementaliste et écologiste, j’ai décidé suite à un voyage en Turquie en Mars 2006 ( Eclipse totale à Side , Antalya le 29/03/2006 ) de ne plus jamais utiliser l’avion comme moyen de transport.
Encore une bonne raison pour prendre un congé prolongé me dirons les récalcitrants ! Non, juste un geste de plus pour l’environnement et en réaction face au tourisme de masse.
C’est à partir du constat fait également en 2000 à Varadero, Cuba ( temple du tourisme à la semaine où fut rasé une des plus belles réserves naturelle) puis à Bali en 2002 , Indonésie (où les paysan sont confrontés à des problèmes de disponibilité en eau avec pour cause le développement de complexes hôteliers), que j’ai pris cette décision.
Le tourisme de masse engendre beaucoup de problèmes et pas seulement au niveau environnemental (émission aéroportuaires, transports, eau potable, eaux usées, acculturation et déplacement de populations rurales vers les centres touristiques, prostitution et proxénétisme).

Je n’ai pas de solution directe a apporté mais je ne souhaites plus contribuer à cette surenchère et particulièrement celle liée aux tarifs des agences de voyage et des compagnie aériennes.

Désireux de découvrir le continent sud américain en prenant mon temps et avec la volonté de faire la promotion du tourisme solidaire et équitable j’ai préparer mon voyage en débutant la traversé l’atlantique en bateau stop !!

ETAPE 1 recherche d’un embarquement pour octobre 2006.

Suite à une expérience plus que positive entre le Sénégal et Le cap vert en 2004 ou je fis l’aller et le retour sur deux embarcations différentes, je me suis rendu compte des possibilités offertes aux équipiers d’embarquer pour des séjours plus ou moins long sur tout types de voilier.

Je surfe donc une après midi et je laisse quelques messages sur les sites mettant en relation les marins capitaines cherchant équipiers et équipiers cherchant capitaines.

Un mois plus tard je reçois un mail de Vincent Mouny, heureux propriétaire de L’Acalèphe, jolie petite coque en aluminium de 14 mètres de long et 4,50 de large. Surexcité et ne sachant encore rien de précis, je suis allé à Cogolin rencontrer Vincent pour voir si le « feeling » pouvait nous mettre d’accord. En plus d’un sentiment amical partager autour d’un petit plat a bord de l’Acalèphe, les conditions du départ semble pour l’instant convenir à cette nouvelle équipe. Daphné TOURNEUX également présente ce jour là et qui exprime depuis longtemps le rêve d’une telle aventure parait séduite et sera peut-être du voyage.

Etape 2 : La recherche de contacts