24 novembre 2006

Etape 4: Sal - Cap Vert

L’écologie commence par soi même !

Oui c’est pour ma propre sécurité (ce mot fait peur) que j’ai quitter Acalephe pour d’autres voiles. J explique, quand j ai fait remarqué au capitaine que le radeau de survie était cadenassé c est a dire verrouillé avec un cadenas depuis quatre jours que nous avions quitté les canaries, cela lui parut normal et même voulu !!!! (Normal est un mot étrange).

Voila cela résume les raisons qui ont fait de moi l’habitant du petit port de Palmeira, île de Sal Cap Vert. Plus d’une semaine passée au soleil poussiéreux de ce bout de lave ou les âmes remplacent un paysage lunaire. Ames des marins, des locaux, des émigres sénégalais, italiens, français, chinois. Dans le jeu, trouver un embarquement à Sal, c’est Daphné qui a gagné une place sur une belle goélette partant vers le Brésil.

Mon physique devient maintenant un handicap puisqu’ apparemment avoir un chromosome féminin soit plus indiqué dans ce genre de situation… Soulagé que ma douce amie ai trouvé sa route, me voila trottant derrière les capitaines vantant les grand mérites de ma modeste personne. Le village de Palmeira montre une attraction étonnante comparé à un village français du même gabarit.

J’ai contemplé aujourd’hui l équeutage des piments, la livraison du pain, les aller et retour des aquabitant de plus de trente navires présents dans la baie.
Cela ne manque donc pas de variété dans les rencontres et les possibilités d´échanger quelques bons sentiments. Demain, de quoi sera tu fait ???, de nouvelles rencontres et de nouveaux bons sentiments qui me mèneront au travers de l’atlantique et.. et… et puis je reviendrais chargé de bons sentiments, cultivés, acérés, effilés.

A tout bientôt pour la suite de l ecotrip







10 commentaires:

Lezink a dit…

Quel truc de ouf t'es en train de faire...
Continue de mettre a jour ton blog et d'écrire tes aventures , elles font vraiment rêver, meme si je pense que ton quotidien ne doit pas être si rose...
Bon courage moussaillon, la terre promise n'est plus si loin. Patience et humilité te feront arriver à bon port !
bizz

lÿze a dit…

salut frère d'amour, contente de te voir, de te lire, de m'émerveiller et de saliver, vive le mégalotrip, c'est une feinte pour mamoun qui écrit que là où je bosse c'est mégalogoro, merci pour tes comments plein de bizzzzzzzz cé

Anonyme a dit…

pas jolie jolie la photo du gosse tenant un flingue pointé dans le dos d'un mec c'est quoi ton trip ecotrip tu te sens mal ou quoi ?

Anonyme a dit…

"rien ne se perd, rien ne se gagne, tout se transforme"...ta terre est toute proche...

Anonyme a dit…

Merci pour ces nouvelles Paco le beau. Combien de journées de mer avant le brésil ? Récife ?? Il faudra que tu nous raconte aussi comment tu as pu abandonner le capitaine du bateau, et aussi Daphné. Vous avez rendez-vous au Brésil ? Et parles nous aussi de Sal.
Bon baisers du Niger. Manolo.

Anonyme a dit…

tu sembles seul mais tu l'as cherché. comment as tu laissé partir Daphné sur un bateau inconnu? comment as tu abandonné le capitaine d'Acalephe juste avant la transat C'est moche!!!

Anonyme a dit…

elo Paco:)Tout ceci m'inspire cela : "Quand on s'élève, on parait petit pour ceux qui regardent d'en bas"..Vole, vole la Chouette!Vole, vis et vois! Demain sera fait de couleurs, de regards et de sourires. Bonne route!Ksiopé.

Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

pour l'instant le chromosome en moins est coincé à terre eh ben l'aventure c'est l'aventure c'est pas vraiment celle que tu attendais me semble t-il, dis moi aurais-tu un souci ? je ne pense pas que ça soit qu'une question de chromosome ou alors pas celui que tu crois!! bon vent quand même....

Anonyme a dit…

ton récit est top, simple, sincère et rêveur ! j'aimerai vivre une expérience loin, comme la tienne! Eclate toi, fais de belles rencontres comme tu le dis !
Pourquoi tant de commentaires bizarres anonymes...